– Vous possédez une oeuvre de Anne-Louis Girodet et vous cherchez à connaître la valeur des oeuvres de cet artiste en France ?

– Vous souhaitez vendre un dessin de Anne-Louis Girodet  ?

– Artexpertise et son équipe d’experts et de spécialistes vous proposent une expertise et une estimation gratuite de votre tableau de Anne-Louis Girodet  en toute confidentialité.  

– Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos sculptures et vos objets d’art dans les meilleures conditions.

 

 
 
  
  

Demande d’estimation gratuite



– Comment vendre au meilleur prix peinture de Anne Louis Girodet Trioson ?

Artexpertise.fr 1 er site en France de d’estimation en ligne d’objets d’artse tient en permanence à votre disposition partout en France, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les tableaux, sculptures, antiquites, objets d’arts et livres anciens que vous souhaitez vendre. 

Assisté de commissaires-priseurs et d’experts partenaires, il vous propose un service d’estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d’estimation gratuite

Après évaluation, nous pourrons vous proposer une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d’art dans les meilleures conditions.

• Première étape : 
Demandez une estimation préalable de vos biens, d’après photographies.
Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d’estimation gratuite

• Deuxième étape : 
Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie.
Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s’impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau. 

• Troisième étape :
Mise en vente aux enchères de votre objet d’art et de collection.
Une fois l’expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir. 

  

   Vente de vos tableaux   



 

BIOGRAPHIE

 

L’œuvre de Girodet se situe à la charnière des deux grands courants artistiques du début du xixe siècle : la peinture neoclassique et romantique. La recherche de la beauté idéale selon les canons classiques l’inscrit dans la lignée des peintres néoclassiques davidiens dont il est avec Antoine-Jean Gros, François Gérard et Ingres, l’un des principaux représentants, alors même que, par une forte volonté d’innovation, il imprègne ses peintures d’une grâce et d’une poésie singulière qui préfigure le romantisme.

 

Né Anne-Louis Girodet de Roucy, le jeune Girodet passe son enfance dans sa ville natale de Montargis. 

 

Très proche de ses parents ainsi que le montre sa correspondance, Girodet déplore le décès de son père en 1784 et de sa mère en 1787. Dans la capitale il est protégé et aidé par le docteur Trioson, un proche ami de la famille. Ce dernier l’adopte en 1809. À partir de cette date le peintre accole Trioson à son patronyme, qui devient Girodet de Roucy-Trioson, simplifié en Girodet-Trioson.

 

Girodet passe le Prix de Rome une première fois en 1787 où il est disqualifié pour avoir sorti des croquis de l’enceinte de l’épreuve (les candidats ne devant disposer d’aucune aide extérieure durant le concours). Il le retente l’année suivante avec La mort de Tatius et obtient la seconde place. Il en est lauréat en 1789 avec Joseph, reconnu par ses frères.

 

Il rejoint alors Rome et y peint Le Sommeil d’Endymion et Hippocrate refusant les présents d’Artaxerxès

 

Girodet regagne Paris en 1795. Il y peint plusieurs tableaux majeurs dont le portrait Mademoiselle Lange en Danaé en 1799, un portrait de Bonaparte Premier consul en 1802, la Leçon de géographie en 1803, les Funérailles d’Atala en 1808, le portrait de Chateaubriand méditant sur les ruines de Rome en 1809. Lors du prix de la Décennie de 1810, Jacques-Louis David est ulcéré lorsque son propre tableau, l’Intervention des Sabines, est placé en seconde position derrière la Scène de déluge de son ancien élève Girodet.

 

Le 4 septembre 1816, il est nommé professeur à l’Ecole des beaux arts de Paris en remplacement de François – André Vincent

 

Bien qu’ayant commencé comme un fidèle disciple de son maître Jacques – Louis David, il s’efforce ensuite de développer un style personnel, jouant avec les effets de lumière. À la peinture d’histoire, il préfère une sorte de symbolisme éthéré, des scènes de genre. Dramatisant à l’excès ses sujets, il excelle dans la pose et le travail de la lumière. Il bouscule les codes de la sensibilité en les transposant dans les scènes religieuses.

 

Il excelle dans la vérité des portraits, parfois allégoriques, souvent intimes (le fils de son père adoptif a été peint à trois époques : jeune enfant, préadolescent et adolescent), il sait révéler l’âme de ses personnages comme dans son célèbre Portrait de Chateaubriand méditant sur les ruines de Rome.

 

Sa peinture d’histoire s’arrange souvent avec les faits pour leur donner une dimension métaphysique ou esthétique : dans sa Révolte du Caire, il peint plusieurs belligérants n’ayant jamais participé à l’événement.

 

Peignant toujours dans le style néoclassique, ses tableaux plurent cependant aux Romantiques grâce aux sentiments exaltés qu’il y représentait.