COLLECTION BON MARCHÉ
Au Temps des Boucicaut
 
>> Mercredi 16 septembre 2015
En offrant à la capitale son premier grand magasin, Aristide et Marguerite Boucicaut, fondateurs du Bon Marché, ont été des acteurs de premier plan d’un Paris du XIXe siècle en pleine effervescence. En 1883, Emile Zola documente l’ascension fulgurante de ce couple modeste devenu illustre et millionnaire, qui donne aujourd’hui son nom à des rues, un square, une place et un pont. Visionnaire, Aristide Boucicaut a introduit un nouvel art de vendre au service du plaisir d’acheter, a institué des innovations à contre-courant des habitudes commerciales et s’est engagé pour l’amélioration des conditions de travail de son personnel.

L’œuvre du couple Boucicaut se distingue avant tout par la recherche constante de la réalisation du beau dans l’utile : toute leur vie, Aristide et Marguerite enrichissent leur activité première d’éléments architecturaux, sociaux, décoratifs et artistiques novateurs. Temple historique du commerce moderne, vitrine de l’élégance parisienne, gardien d’un certain art de vivre à la française, le Bon Marché est aussi un lieu de culture dont les expositions et événements rythment la vie des Parisiens du XIXe siècle.

La sélection d’une cinquantaine de pièces présentée par TAJAN raconte à elle-seule une histoire du Paris de la fin du XIXe siècle. On y retrouve par exemple des peintures et sculptures d’artistes en vogue à l’époque tels que Lobrichon et Carrier Belleuse, provenant de l’ancienne collection personnelle de Marguerite Boucicaut. D’autres articles de luxe destinés à une clientèle haute gamme – porcelaine de Sèvres et de Meissen, vases, brûle-parfum et statuettes importés d’Asie au XIXe – portent encore les premières étiquettes  du Bon Marché.

COLLECTION BON MARCHÉ
Au Temps des Boucicaut
 
>> Mercredi 16 septembre 2015
En offrant à la capitale son premier grand magasin, Aristide et Marguerite Boucicaut, fondateurs du Bon Marché, ont été des acteurs de premier plan d’un Paris du XIXe siècle en pleine effervescence. En 1883, Emile Zola documente l’ascension fulgurante de ce couple modeste devenu illustre et millionnaire, qui donne aujourd’hui son nom à des rues, un square, une place et un pont. Visionnaire, Aristide Boucicaut a introduit un nouvel art de vendre au service du plaisir d’acheter, a institué des innovations à contre-courant des habitudes commerciales et s’est engagé pour l’amélioration des conditions de travail de son personnel.

L’œuvre du couple Boucicaut se distingue avant tout par la recherche constante de la réalisation du beau dans l’utile : toute leur vie, Aristide et Marguerite enrichissent leur activité première d’éléments architecturaux, sociaux, décoratifs et artistiques novateurs. Temple historique du commerce moderne, vitrine de l’élégance parisienne, gardien d’un certain art de vivre à la française, le Bon Marché est aussi un lieu de culture dont les expositions et événements rythment la vie des Parisiens du XIXe siècle.

La sélection d’une cinquantaine de pièces présentée par TAJAN raconte à elle-seule une histoire du Paris de la fin du XIXe siècle. On y retrouve par exemple des peintures et sculptures d’artistes en vogue à l’époque tels que Lobrichon et Carrier Belleuse, provenant de l’ancienne collection personnelle de Marguerite Boucicaut. D’autres articles de luxe destinés à une clientèle haute gamme – porcelaine de Sèvres et de Meissen, vases, brûle-parfum et statuettes importés d’Asie au XIXe – portent encore les premières étiquettes  du Bon Marché.

COLLECTION BON MARCHÉ
Au Temps des Boucicaut
 
>> Mercredi 16 septembre 2015
En offrant à la capitale son premier grand magasin, Aristide et Marguerite Boucicaut, fondateurs du Bon Marché, ont été des acteurs de premier plan d’un Paris du XIXe siècle en pleine effervescence. En 1883, Emile Zola documente l’ascension fulgurante de ce couple modeste devenu illustre et millionnaire, qui donne aujourd’hui son nom à des rues, un square, une place et un pont. Visionnaire, Aristide Boucicaut a introduit un nouvel art de vendre au service du plaisir d’acheter, a institué des innovations à contre-courant des habitudes commerciales et s’est engagé pour l’amélioration des conditions de travail de son personnel.

L’œuvre du couple Boucicaut se distingue avant tout par la recherche constante de la réalisation du beau dans l’utile : toute leur vie, Aristide et Marguerite enrichissent leur activité première d’éléments architecturaux, sociaux, décoratifs et artistiques novateurs. Temple historique du commerce moderne, vitrine de l’élégance parisienne, gardien d’un certain art de vivre à la française, le Bon Marché est aussi un lieu de culture dont les expositions et événements rythment la vie des Parisiens du XIXe siècle.

La sélection d’une cinquantaine de pièces présentée par TAJAN raconte à elle-seule une histoire du Paris de la fin du XIXe siècle. On y retrouve par exemple des peintures et sculptures d’artistes en vogue à l’époque tels que Lobrichon et Carrier Belleuse, provenant de l’ancienne collection personnelle de Marguerite Boucicaut. D’autres articles de luxe destinés à une clientèle haute gamme – porcelaine de Sèvres et de Meissen, vases, brûle-parfum et statuettes importés d’Asie au XIXe – portent encore les premières étiquettes  du Bon Marché.