Tobeen Estimation et cote | Expertise gratuite | Réponse immédiate

Felix Tobeen travaille pendant une période de grands bouleversements dans le monde de l’art. Résidant à Paris à partir de 1907 il s’intègre dans le groupe des peintres cubistes. Il réalise alors des œuvres influencées par le mouvement, mais trouvera bientôt son style propre : le réalisme poétique. L’empreinte du cubisme y demeurera cependant perceptible.

Tobeen participe à des expositions marquantes comme celle de la Section d’or (Paris 1912) et ses œuvres sont présentes dans de nombreux Salons et galeries. Tobeen travaille lentement et ne laissera qu’environ 300 œuvres, pour la plupart des tableaux, mais aussi quelques gravures sur bois, aquarelles et dessins. La présence de ses œuvres sur le marché de l’art et sa notoriété resteront par conséquent limitées. Pourtant, l’importance de Tobeen a bien été reconnue par de grands marchands d’art néerlandais, entre autres.

Bien que Tobeen soit né et ait grandi à Bordeaux, il est considéré comme un artiste basque en raison des thèmes qu’il développe dans sa peinture. Pourtant ni lui, ni ses parents, ne sont basques. De même, son véritable nom n’est pas Tobeen, mais Félix Élie Bonnet. Tobeen est un pseudonyme, anagramme ludique de Bonnet. L’artiste signe ses œuvres et sa correspondance : Tobeen, et c’est ainsi que l’appellent ses amis.

A l’instar d’Albert Marquet et Odilon Redon, Tobeen quitte Bordeaux pour Paris. Il y rencontre les peintres que l’on appellera bientôt « cubistes », ainsi qu’il l’écrit à son ami, l’artiste-peintre André Lhote, lui-même pour le moment toujours à Bordeaux. Les deux peintres s’impliquent dans le renouveau des arts plastiques, comme en témoigne, en 1913, Le Bassin dans le parc de Tobeen.

Bien que le peintre réside à Paris pendant de longues années, jusqu’en 1924 environ, il n’est pas un citadin. Toute sa vie il retournera à Bordeaux vers la forêt landaise, les vignes du Médoc, ou plus au sud, vers le pays et la côte basque. Il y apprécie la vie campagnarde, les petits ports, les villages au pied des Pyrénées, les hommes et les femmes basques, comme l’attestent ses tableaux : Paysage basque (1910), Pelotaris (1912), Buveur à la gourde (1916), La Basquaise devant le port de Ciboure ou Vue de Saint Jean de Luz (1927).

A Bordeaux, l’art moderne n’est pas exposé ; on ne trouve guère de collectionneurs d’art contemporain, impressionniste, expressionniste ou symboliste. Une des rares exceptions est le vigneron bordelais Gabriel Frizeau, dans la maison duquel Tobeen découvre un environnement artistique. Dans la collection de Frizeau, il trouve des œuvres riches en couleur de Gauguin, Adolphe Monticelli, Georges Rouault ou Maurice de Vlaminck et des symbolistes comme Odilon Redon. Frizeau reçoit régulièrement chez lui des peintres mais aussi des romanciers, des poètes, des journalistes et des critiques. Parmi les peintres on y rencontre Charles Lacoste et André Lhote à qui le collectionneur achète aussi des tableaux. Tobeen y fait connaissance avec des écrivains d’Aquitaine comme Francis Jammes, Olivier Hourcade et François Mauriac ainsi que d’autres de Paris ou d’ailleurs, tels Paul Claudel, Alain-Fournier, André Gide et Jacques Rivière avec lesquels il entretient aussi des contacts à Paris.

En compagnie d’Olivier Hourcade, Tobeen visite aussi les ateliers des frères Raymond Duchamp-Villon et Jacques Villon ainsi que celui d’Albert Gleizes, situés respectivement à Puteaux et Courbevoie en banlieue parisienne. On y débat vivement sur le cubisme, on y développe de nouvelles théories et on y organise des expositions collectives parmi lesquelles celle de la Section d’or de 1912. Vers 1911, les artistes de ce groupe sont qualifiés, avec une pointe d’ironie, de « cubistes ». Ils poursuivent la voie de Cézanne, réduisent leur palette et adoptent des formes abstraites géométriques. Jacques Villon à qui Tobeen dédicace une version du Filet, souligne l’importance du nombre d’or et des idées de Léonard de Vinci. Il prône ainsi le retour à l’équilibre classique et souhaite que son œuvre témoigne d’un « classicisme de la modernité », ce que revendiquent aussi Gleizes et Metzinger dans leur livre « Du “Cubisme” ». Tobeen ne recherche pas l’application mécanique d’un rapport de mesure fixe comme celui du nombre d’or, mais une harmonie et un rythme selon lui, intemporels, dont il perçoit intuitivement la justesse. Son travail rejoint parfaitement celui des artistes de la Section d’or qui en fait peignent dans un « style parallèle » au cubisme de Picasso et de Braque. Cependant Tobeen, critique, garde ses distances avec le groupe et écrit dans une lettre « (…) les théories m’intéressèrent au début, mais […] l’irréalisation plastique m’apparut aussitôt ». Il s’obstine à poursuivre la tradition occidentale d’une manière cubiste et orphique personnelle et s’orientera finalement vers un style poétique post-cubiste : La Femme aux fleurs (1913), Le Filet (1913). Sa reconnaissance comme peintre date de l’achat de son tableau Pelotaris (1912) au Salon des Indépendants de 1912 par Théodore Duret, critique d’art faisant alors autorité.

Le peintre est mobilisé pendant six mois de mars à septembre 1915 ; il est gravement blessé et après plusieurs séjours à l’hôpital, il sera réformé avec honneur. En septembre 1916 il est à Paris où il épouse la poétesse Louise Justine Dewailly. Cette même année, Tobeen organise une exposition personnelle à la galerie Eugène Blot.

Très vite, il n’est plus uniquement attiré par les paysages du Midi mais également par ceux du nord de la France, d’où est originaire Madeleine. C’est à présent la côte de la Manche qui les séduit plus particulièrement, « continuellement balayée par les grands vents… ». A l’automne 1919, il envoie pour la première fois après la guerre, des travaux aux Salons et à partir de cette période, et jusqu’en 1934, il participe presque tous les ans au Salon d’Automne. Les galeristes lui envoient fréquemment des invitations pour exposer. C’est ainsi qu’il a, en septembre 1921, sa deuxième exposition personnelle dans la galerie Haussmann.

Entre 1920 et 1924, Tobeen alterne activités intenses à Paris et périodes où il peut se consacrer tranquillement à la peinture à Saint-Valery-sur-Somme en été, ou à Nice en hiver. En 1924, le couple s’installe définitivement à Saint-Valery. La peinture de Tobeen s’oriente vers plus de réalisme, tout en conservant une synthèse des formes venant du cubisme, par exemple dans Maison blanche avec un petit étang, La Maison blanche et Le Repos (après 1920) ; tableaux qui, ainsi que plusieurs natures mortes avec fleurs, dégagent une atmosphère poétique intime.

En 1927, la galerie Druet organise une exposition d’environ dix peintres bordelais parmi lesquels Lacoste, Lhote, Marquet, Sonneville et Tobeen.

A partir de 1928 et jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, le marchand d’art d’Amsterdam Huinck & Scherjon vend des tableaux de Tobeen. Cependant, pendant les années de la crise, le marché ralentit. Tobeen meurt en 1938 à Saint-Valery-sur-Somme.

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Voici quelques éléments nécessaires à l’estimation gratuite de vos tableaux et dessins anciens, antiquités, objets d’Asie, meubles anciens, livres et gravures etc …

Présence d’une signature
La signature du peintre présente des analogies avec la présence de l’estampille dans l’ébénisterie et la menuiserie. Il faut attendre l’année 1743 pour que l’estampille se généralise sur les meubles. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, selon les nouveaux règlements de la corporation, la marque individuelle de l’ébéniste doit figurer avec la marque collective de la corporation.

Jusqu’à la renaissance, les oeuvres sont souvent anonymes et il faut attendre la seconde moitié du XVIII ème siècle avec le développement du marché ainsi que la création des salons officiels de peinture et de sculpture pour voir apparaitre des oeuvres signées et datées. François Boucher ou Joseph Vernet, peintres à la mode  au 18 ème siècle utilisent leur nom pour valoriser leur travail. On assiste alors la construction d’une identité artistique par la présence d’une signature ou d’un monogramme.La forme cursive s’impose et se rapproche de la signature manuscrite de l’artiste. Parfois, avec la signature de l’artiste et la date on peut lire pinxit, delineavit, fecit, faciebat ou invenit.
Mais c’est au XIX ème siècle que la signature devient un élément essentiel d’appréciation de l’oeuvre en jouant un rôle dans l’évaluation financière et dans l’authentification.
Parfois dissimulées dans la composition, elle peut apparaitre sous forme d’un monogramme accompagné d’une date et d’une localisation.
La présence d’une signature ou d’un monogramme sur une toile ancienne, d’une estampille sur une commode ou un siège ne rend pas l’oeuvre authentique car rien n’est plus simple que d’imiter une signature ou une estampille; seul l’expérience et l’oeil d’un expert permet de déterminer si les marques et signatures sont authentiques.

Les dimensions de votre oeuvre
Les dimensions de votre tableau sont essentielles pour l’estimation de votre oeuvre; veuillez nous communiquer les dimensions « hors cadre » de votre peinture. Pour l’estimation d’une sculpture, veuillez nous communiquez la hauteur ainsi que la longueur du socle.

La description de votre oeuvre
Veuillez nous communiquer tous les éléments en votre possession concernant la provenance :
– Achat en vente aux enchères, chez un antiquaire,  succession, don…
– Le titre de l’oeuvre
– Les expertises déjà réalisées (assurance, héritage)
– Tous éléments susceptible de nous aider dans l’évaluation

Les photos de votre oeuvre
Pour permettre à nos experts de vous communiquer une estimation réaliste, quelques conseils pour prendre les photos de votre oeuvre :
– Prendre votre peinture, vitre sculture de face
– La signature en plan large
– Des détails de votre oeuvre.
– Le dos du tableau et toutes mentions manuscrites et étiquettes d’expositions.

Restaurations anciennes
L’état de conservation est un élément essentiel d’appréciation d’un tableau, d’une oeuvre d’art.
Il faut identifier les restaurations anciennes, les repeints. Il faut aussi s’assurer qu’il s’agit ou non de la toile d’origine (rentoilage, transposition etc).

Présence de vernis
Le vernis est en une résine naturelle transparente parfois teinté avec des pigments naturels. Auparavant, il était fabriqué à partir de résine naturelle et jouait un rôle esthétique et protecteur de l’oeuvre; il ravive les couleurs, accentue la profondeur et protège l’oeuvre des poussières, de la lumière excessive et des polluants.

Avec le temps, le vernis jaunie mais son rôle est essentiel dans la conservation des tableaux anciens.

L’encadrement de l’oeuvre
Le cadre fait partie intégrante de la peinture, et il joue un rôle essentiel dans la mise en valeur de celle – ci.
Il permet également de protéger la peinture contre les dommages.
Les cadres anciens du 17 ème et du 18 ème sont sculptés et dorés. Au 19 ème, ils sont moulés et décorés d’éléments en stuc ou plâtre.

• Comment sont déterminées les estimations de mes dessins et peintures contemporaines ?

Notre spécialiste va estimer votre photo en la comparant dans un premier temps à des oeuvres similaires déjà présentées et vendues dans une vente aux enchères en France.

Puis avec l’ensemble des éléments fournis (nom de l’artiste, présence d’une signature, dimensions de l’oeuvre, état de conservation), nous pourrons analyser votre tableau, votre peinture, votre objet d’art et sous 48h, vous recevrez par mail une première estimation gratuite de vos objets d’art et de collection.

Nos spécialistes ont bien évidemment une parfaite connaissance des mécanisme du marché de l’art

• Dois-je me déplacer avec mon tableau ancien pour obtenir une estimation ? 

Dans un premier temps, faites nous parvenir le formulaire d’estimation gratuite en ligne pour une évaluation confidentielle de vos tableaux et peintures anciennes dans les plus brefs délais.

Envoyez-nous vos photos à partir de votre ordinateur ou de votre téléphone.

• Quel est le coût d’une estimation d’une peinture contemporaine, d’un dessin ancien ?

L’estimation de vos photos anciennes anciennes est totalement gratuite mais il ne vous sera délivré aucun document écrit.

Les valeurs communiquées sont donc indicatives et elles ne peuvent, en aucun cas, être reproduites, diffusées ou utilisées à toutes fins. D’autre part, cet avis est donné sous réserve d’une expertise visuelle des objets d’art concernés.

   Demande d’expertise gratuite

– Comment faire expertiser un tableau de Félix Tobeen ?

Pour confirmer l’estimation qui vous a été communiquée par mail par notre service d’estimation, il faut procéder à l’analyse visuelle de vos objets d’art.

• Comment notre expert réalise t’il l’expertise visuelle d’une œuvre d’art ?

L’expert qui sera en charge de l’estimation de vos objets d’art et de collection doit se munir d’outil comme une loupe éclairante, une lampe de Wood pour mettre en évidence une signature apocryphe, des restaurations anciennes, des repeints etc…  

D’autre part, l’expert doit aussi s’appuyer sur une documentation spécifique : catalogues raisonnés de chaque artiste, publications universitaires, travaux de recherches, catalogues de vente aux enchères. Parfois, un déplacement dans une fondation, dans une bibliothèque s’avère nécessaire pour consulter des ouvrages rares (Fonds patrimoniaux).  

Il peut également consulter les sources disponibles sur Internet sur les bases de données des musées nationaux, des galeries d’art ou des fondations étrangères.

• Dois-je me déplacer avec mon tableau, ma peinture ancienne pour faire procéder à une expertise ?

Nous pouvons vous recevoir chaque jour sur rendez-vous à notre bureau  pour une expertise gratuite et confidentielle.

Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou transporter les oeuvres concernées, nous pouvons nous charger du transport des oeuvres.

Nous pouvons également effectuer un déplacement à votre domicile (sous conditions).

• Comment faire authentifier mon tableau ou ma peinture ancienne  ?

Notre expérience du marché, la parfaite connaissance des procédures d’authentification nous permettent d’authentifier les oeuvres soumises et obtenir auprès des comités les certificats nécessaires à la mise en vente de vos tableaux, sculptures, antiquités asiatiques et objets d’art. 

N’hésitez pas à nous contacter afin de assister pour l’expertise et la mise en ventes de vos peintures, sculptures et objets de collection 

   Demande d’estimation gratuite

– Comment vendre au meilleur prix un tableau de Felix Tobeen ?

Artexpertise.fr leader en France de l’estimation de tableaux, se tient en permanence à votre disposition, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les tableaux, sculptures, antiquites, objets d’arts et livres anciens que vous souhaitez vendre.

Assisté de l’équipe de commissaires-priseurs et d’experts partenaires, il vous propose un service d’estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d’estimation gratuite.

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• Première étape :
Demandez une estimation préalable de vos biens, d’après photographies.
Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d’estimation gratuite

• Deuxième étape :
Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie.
Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s’impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.

• Troisième étape :
Mise en vente aux enchères de votre objet d’art et de collection.
Une fois l’expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.

LISTES DES ARTISTES DE BORDEAUX ET DU SUD OUEST QUE NOUS RECHERCHONS EN PERMANENCE :

Charles Lacoste Félix Tobeen Jean Dupas André Lhôte Albert Marquet Jean Gabriel Domergue Odilon Redon Rodolphe Bresdin Pierre Albert Bégaud Pierre Théron Marius et Camille de Buzon André Caverne Jean Despujols Raphaël Delorme René Buthaud Paul Antin Georges de Sonneville Pierre Louis Cazaubon Joseph Lépine, Maurice Roganeau Emile Brunet Alexandre Callède Roger Mathias Louis Auguin Hippolyte Pradelles Amédée Baudit  Léonce Chabry Jean Cabrit  Paul Sébilleau  Louis Alexandre Cabié Julien Calvé Alfred Smith François Max Bugnicourt Eugène Forel Hermann Delpech Raoul Dosque Léon Bopp du Pont Jean Hugon Maurice Larue Jean Rigaud Pierre Gaston Rigaud Ramiro Arrue Louis Floutier Blanche Odin Pierre Molinier René Princeteau Emile Brunet Marcel Beronneau Paul Bazé Yvonne Préveraud Georges de Sonneville Cyprien Alfred Duprat Amédée de Caranza John Lewis Brown Felix Carme Sem Alfred Smith Paul Quinsac Maxime Lalanne Richard Lafite Faxon  Jean Paul Alaux Gustave de Galard Léo Drouyn Pierre Edouard Dagoty Edouard Fontan Pierre Emile Bernéde Rosa Bonheur Isidore Bonheur Roger Bissière Victoire Elisabeth Calcagni Gaston Schnegg Lucien Schnegg Joseph Lailhaca Adrien Dauzats Stanislas Gorin Pierre Lacour Raymond Brascassat Charles Cante Albert Greig Pablo Tillac Leon Bonnat Jean Roger Sourgen Marius Gueit – Louis Floutier – Ramiro Arrue – Paul Bazé – Alex Lizal – Pierre Gaston Rigaud – Georges Masson – Jean Roger Sourgen – JIVA (William JIVANOVITCH) – PIERRE LABROUCHE – René Choquet  – Gustave Colin  – Achille Zo – Léon Bonnat – Raoul Serres – Ignacio ZULOAGA – Hippolyte Marius GALY – Pablo TILLAC – Hélène ELISSAGUE dite ELIZAGA – Jacques LE TANNEUR …

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